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Des recherches m’ont récemment permis d’accéder à quelques émissions radiophoniques sur et autour de l’oeuvre de Marcel Proust. L’une d’entre elles intitulée Un homme, une œuvre, Marcel Proust datée du 01 décembre 1948, et diffusée sur la chaîne nationale, est dépourvue de notice documentaire sur le site de l’Ina. Sans générique de début ni de fin, elle fait se succéder les témoignages de trois hommes contemporains de Marcel Proust qui racontent, texte à l’appui, leurs souvenirs avec l’écrivain. Mais aucun d’entre eux n’est annoncé au micro.
Grâce à google livres, deux des trois témoins sont aisément identifiables. Il s’agit de Fernand Gregh (1873-1960), et de Georges de Lauris (1876-1963). Si Fernand Gregh est coutumier des interviews radiophoniques vers la fin de sa vie, notamment pour parler de Marcel Proust, l’intervention de Georges de Lauris semble en revanche unique dans les archives de la radiodiffusion.
Le dernier témoin de cette émission (mais le premier à s’exprimer) est René Peter (1872-1947). Son texte, a priori inédit, est le seul que j’ai choisi de retranscrire ci-dessous dans la mesure où ceux de Fernand Gregh et de Georges de Lauris ont été publiés respectivement dans Mon amitié avec Marcel Proust (1958) et Souvenirs d’une belle époque (1948).
Enfin, et vous l’avez peut-être déjà remarqué, un doute demeure quant à la date d’enregistrement de l’émission (01 décembre 1948), incompatible avec la date de mort de René Peter (1947).
Des recherches m’ont récemment permis d’accéder à quelques émissions radiophoniques sur et autour de l’oeuvre de Marcel Proust. L’une d’entre elles intitulée Un homme, une œuvre, Marcel Proust datée du 01 décembre 1948, et diffusée sur la chaîne nationale, est dépourvue de notice documentaire sur le site de l’Ina. Sans générique de début ni de fin, elle fait se succéder les témoignages de trois hommes contemporains de Marcel Proust qui racontent, texte à l’appui, leurs souvenirs avec l’écrivain. Mais aucun d’entre eux n’est annoncé au micro.
Grâce à google livres, deux des trois témoins sont aisément identifiables. Il s’agit de Fernand Gregh (1873-1960), et de Georges de Lauris (1876-1963). Si Fernand Gregh est coutumier des interviews radiophoniques vers la fin de sa vie, notamment pour parler de Marcel Proust, l’intervention de Georges de Lauris semble en revanche unique dans les archives de la radiodiffusion.
Le dernier témoin de cette émission (mais le premier à s’exprimer) est René Peter (1872-1947). Son texte, a priori inédit, est le seul que j’ai choisi de retranscrire ci-dessous dans la mesure où ceux de Fernand Gregh et de Georges de Lauris ont été publiés respectivement dans Mon amitié avec Marcel Proust (1958) et Souvenirs d’une belle époque (1948).
Enfin, et vous l’avez peut-être déjà remarqué, un doute demeure quant à la date d’enregistrement de l’émission (01 décembre 1948), incompatible avec la date de mort de René Peter (1947).